Mavic Mini

Mavic Air 2

Mavic 2 Pro





Caméra Hasselblad

Tient dans la main

Complètement nomade

Fonctionne avec l'iPhone
Législation sur les drones
Si le drone pèse plus de 800 g, ce qui est le cas du Mavic Pro 2 , il fait l’objet d’un enregistrement électronique sur le site de la DGAC, pour les mineurs ce sera au représentant légal. D’autre part il y a une réglementation qui interdit aux drones de survoler certaines zones , monuments historiques, prisons sites sensibles etc… la hauteur du vol avec un drone est de 150 m maximum. Selon les zones, la hauteur peut être réduite à 50 m. Le drone doit toujours être en visuel du champ de vision du pilote et lorsque le drone est équipé d’une caméra ou de capteurs enregistrant des données, les utilisateurs sont soumis aux règles du RGPD sur l’utilisation des données captées. Tous les renseignements sont sur le site legifrance.gouv.fr, les propriétaires de drones de plus de 800 grammes doivent installer un dispositif sonore et lumineux. Pour rappel le drone doit être utilisé dans le cadre de la réglementation fixée par la loi et toute infraction est passible de sanctions. Pour savoir si la zone que vous convoitez est interdite (aéroports, armée, habitations etc) il vous suffit de vous rendre sur ce site.
Acheter un drone de loisir nécessite avant le respect de plusieurs règles conformes à la loi afin de voler en toute sécurité. Depuis le 1er janvier 2021, la première est ces règles est d’enregistrer votre drone auprès de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) sous peine d’une amende de 750€. L’enregistrement peut être fait ici.
Si une notice explicative est fournie à l’intérieur d’un drone de loisirs, il faut garder à l’esprit dix règles principales en utilisation :
- Ne pas survoler des personnes
- Respecter les hauteurs maximales de vol (150 mètres de hauteur maximale en France et 120 mètres de hauteur maximale en moyenne sur la zone européenne)
- Ne jamais perdre de vue son appareil et ne pas l'utiliser la nuit
- Ne pas faire voler son appareil au-dessus de l'espace public en agglomération
- Ne pas faire voler son appareil à proximité des terrains d’aviation
- Ne pas survoler de sites sensibles ou protégés : centrales nucléaires, terrains militaires, réserves naturelles…
- Respecter la vie privée des autres, en ne diffusant pas les prises de vues sans l'accord des personnes concernées, et en n'en faisant pas une utilisation commerciale
- Vérifier dans quelles conditions on est assuré pour la pratique de cette activité En cas de doute, se renseigner auprès de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC)
Qui peut piloter un drone de loisir ?
En 2021, deux catégories de drones de loisir se distinguent: les drones de catégorie A et les drones de catégorie B.
Pour la première, aucune autorisation n’est requise. Néanmoins, il est de l’entière responsabilité du conducteur de juger s'il possède les capacités requises pour piloter ou non. Une formation préalable est fortement recommandée.
Le pilotage d'un drone de catégorie B n'est possible qu'après autorisation de vol de la part de la direction générale de l'aviation civile (DGAC). Il faut faire la demande par l'envoi de plusieurs formulaires .La responsabilité du pilote peut être engagée en cas de dommages causés aux autres drones, aux personnes et aux biens. Si vous n'avez pas contracté d'assurance spécifique, vérifiez les clauses de votre contrat responsabilité civile.
Hauteur de vol
En dehors des sites spécifiques à l’activité, la hauteur maximale est de 150 mètres en France. Il faut avant tout vol vérifier la hauteur maximale autorisée à l'endroit souhaité. Vous pouvez procéder à ces vérifications sur le Géoportail , avec un espace vous permettant également de connaitre les zones de vol autorisées autour de vous.
En cas de violation des règles de sécurité et interdictions de vol /survol, vous risquez de 1 à 6 mois d'emprisonnement et de 15 000 € à 75 000 € d'amende en complement du retrait immédiat de votre matériel.
Respect de la vie privée
Il est interdit d’enregistrer des images/ vidéo qui permettent de reconnaître ou identifier des personnes tierces sans autorisation (visages, plaques d’immatriculation...). La diffusion de ces images doit faire l’objet d’une autorisation/attestation des personnes qui s’y trouvent. En cas de violation de la vie privée, en captant, enregistrant ou diffusant des images ou paroles de personnes sans leur consentement, vous encourez 1 an d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.